Le phygital nous permet de présenter toute notre offre sans la mettre en surface de magasin
Un projet rentable !
A surface atypique, concept novateur pour Undiz. L’enseigne de dessous jeunes du groupe Etam cherchait un point de vente dans le centre-ville de Toulouse, là où elle n’était jusqu’alors qu’en périphérie. Et c’est une petite surface par rapport à ses standards qu’elle a trouvé, au 26 rue Alsace-Lorraine. Petite surface de 50 mètres carrés donc, mais grand stock en sous-sol. De quoi inspirer un nouveau concept boutique à Undiz avec la Undiz Machine.
Quelques chiffres
Ce projet fut réalisé en un temps rapide grâce à notre offre tout en 1: matériel, logiciel, support et formation des vendeurs.
Plus de 1 million : le nombre de fois où les bornes toulousaines ont été utilisées en six mois
270 m² : la surface du magasin, dont 150 m² de réserve
2 mn : le temps maximal de préparation d’une commande
8 : le nombre de tuyaux installés
1 200 : le nombre de modèles disponibles
Toute l’efficacité de la « Machine » repose sur la logistique de la réserve. Les préparateurs se chargent de remplir la capsule avec les produits dans un délai de deux minutes. « Le système nous permet une gestion de 600 à 900 capsules par jour, avec un pic de 150 capsules par heure. La véritable limite d’Undiz Machine reste la partie picking, faite manuellement, détaille le consultant. Sur le site de Toulouse, les chiffres indiquent qu’une capsule est envoyée toutes les six minutes. Et après six mois d’ouverture, ses bornes ont été manipulées plus de un million de fois. »
Autre clé du système, la RFID. Les pièces destinées à l’Undiz Machine sont taguées à l’entrepôt central. « La RFID permet une identification unique du produit, indique Jean-Bernard Della Chiesa. Nous pouvons savoir exactement le nombre de références en stock, et où le produit se situe dans la réserve, dans les rayons, s’il est en cours d’essayage ou s’il s’agit d’un retour. » Un point important pour le concept qui mise sur un stock large, avec un réassortiment régulier.
